Voilà 18 ans, Steven Spielberg nous contait la fable suivante : « Deux petites souris tombent dans un seau plein de crème. La première souris abandonne très vite la lutte et se noie. La deuxième souris ne renonce pas. Elle se débat tant et tant qu’elle finit par transformer la crème en beurre. Et elle sort du seau. »
Vous êtes la première ou la seconde souris ?
En cette fin d’année, cette histoire trouve chez beaucoup d’entre nous une juste résonnance ! Combien d’entreprises subiront le même sort que la première souris ? Il faudra passer par une phase de reconstruction laborieuse autant qu’exigeante pour retrouver l’essor d’antan et goûter aux promesses de « l’après ». Déjà, la phase de transformation est amorcée. Car si nous suivons l’exemple de la deuxième souris, il nous appartient de regarder chaque nouvel obstacle en face et lui lancer comme un défi.
Arrête-moi si tu peux incertitude ambiante !
Tu trouveras des convictions qui puisent leurs racines dans des valeurs séculaires ! La Poste depuis Louis XI crée, innove, défait et réinvente l’art de transporter : du cheval au rail, du vélo à l’aéropostale, de la première automobile à la plus grande flotte électrique d’Europe… Forte de ce mouvement, l’aventure n’est pas sur le point de s’arrêter !
Arrête-moi si tu peux défaitisme facile !
À l’heure où tout est à construire, à l’heure où la transformation digitale des entreprises bondit subitement d’un « lustre », à l’heure où tous les cadrans sont tournés vers les solutions nouvelles que nous développons depuis des années, c’est à un optimisme plus ambitieux que jamais qu’il faudra te mesurer !
Pour transformer un monde qui bouge, tous à nos barattes !
Quel que soit le choc, quelle que soit la secousse, le tremblement reste l’expression d’un monde qui bouge ! Si le changement est inéluctable, la transformation, elle, est le fruit de nos facultés. Elle se dessine à grandes bouffées de créativité, se construit à grands coups de volonté, et se conduit à grands renforts de ténacité. L’environnement peut faire le changement, mais c’est l’humain seul qui bâtit la transformation. Alors tous à nos barattes, car chaque jour qui commence est un nouveau monde d’après !
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