Dans une société où tout va plus vite grâce au digital, l'immédiateté est devenue un point essentiel pour rester compétitif et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs, qui sont en constante recherche de gain de temps. Même si avec l'e-commerce les consommateurs peuvent acheter et se faire livrer dans les 24 heures comme avec Amazon, ils souhaitent encore plus de vitesse. La rapidité est donc devenue un enjeu essentiel auquel doivent répondre les entreprises pour coller aux attentes des utilisateurs. C'est dans ce contexte qu'est né le quick commerce ou Q-commerce. De manière générale, le Q-commerce est un modèle de commerce basé sur la promesse d’une livraison express. Il se caractérise par le fait d’offrir aux clients des produits en petites quantités presque instantanément, au moment voulu et à l’endroit voulu. Cependant, le Q-commerce requiert la mise en service de nombreux véhicules pour effectuer ces livraisons rapides. Bien que le mode de consommation ait changé, la nouvelle génération s’intéresse davantage à leur environnement et adopte un comportement plus responsable.

Dans un contexte où les enjeux environnementaux prennent de plus en plus d'importance, répondre aux attentes des clients en termes de durabilité englobe également les moyens de livraison utilisés par les acteurs du e-commerce. La prise de conscience écologique et l’urgence climatique poussent les entreprises à repenser leurs modes de livraison. En offrant des choix de livraison plus durables, les entreprises répondent à une demande croissante des consommateurs. En effet, 60% des consommateurs souhaiteraient disposer d’options de livraison éco-responsable, comme le souligne l'étude “Livraisons à domicile écoresponsables : les consommateurs exigent encore plus” , réalisée en avril 2023 par l'institut d'étude Sapio. 

Au cours de l’année 2023, les redressements judiciaires d'enseignes iconiques des centres-villes français, telles que Kookaï ou Pimkie, ont rythmé l’actualité économique des derniers mois, tandis que d’autres ont également fait face à des procédures de liquidation. C’est le cas de Camaïeu ou encore San Marina …. En ce début d’année, les dirigeants de l'industrie de la mode partagent un sentiment d'incertitude. Influencé par des perspectives de croissance économique peu encourageantes, une inflation persistante et une faible confiance des consommateurs, cette nouvelle année présente un contexte peu rassurant pour les acteurs du marché de la mode. 

Quel que soit le secteur, l'industrie ou le métier, la quête de la simplification reste un enjeu business majeur. Elle vient spontanément à l'esprit quand on parle de process ou d'organisation. Mais elle doit aussi guider les choix et les arbitrages au quotidien dans le management d'un produit.

Un ami de longue date, Nicolas, Boileau de son petit nom, m’a interpellé quand j’avais seize ans par la bouche de mon père alors que j’essayais d’expliquer que j’allais réviser chez ma copine un vendredi soir du mois de mai sur la côte d’azur… Valérie, ‘’ Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. ’’ Ce jour-là, j’ai compris que pour convaincre, il fallait faire simple et éviter le baratin ! Faire simple dans un monde complexe et mouvant, c’est ce que nous devons à nos clients même si cela doit être d’une grande complexité en coulisse.

Mon rôle en arrivant il y a trois ans et demi chez Suez a été de définir avec les opérationnels en interne une vision avec une ambition et des axes clairs. Le plan de transformation digitale de Suez s’articule donc autour de 3 axes : la digitalisation de l’expérience client, la performance et la création de nouveaux business models. Cette vision avait donc pour objectif d’être suffisamment simple pour que tout le monde puisse se l’approprier ! Le tout dans un cadre raisonnablement simple pour également permettre une bonne priorisation des projets et investissements digitaux, clé d’une transformation digitale aboutie.

Lors de la conception d’un produit, demandez à un panel si une fonctionnalité est utile, si cette information est nécessaire ou pertinente et vous trouverez toujours un utilisateur, voire un décisionnaire interne qui la jugera essentielle. Retirer-la par défaut et - la plupart du temps - personne ne s’en rendra compte ou ne s'en plaindra .

Dans notre industrie, nous ne parlons pas de ‘’clients’’. Ainsi, nous n’avons pas de ‘’stratégie-client’’ à proprement parler. Notre métier est centré sur le développement, la fabrication de médicaments au bénéfice de patients. Pour autant, si les professionnels de santé ne sont pas des ‘’clients’’, l’efficacité de notre communication à leur égard est clé.

Nous voulons faire simple, faire rapide, faire beau et fluide pour permettre à nos clients d’adhérer à notre offre ‘’sans couture’’. Adapter nos environnements digitaux pour qu’ils soient toujours plus en adéquation avec l’ère du temps et avec ce qu’attendent les consommateurs. Voilà pourquoi la simplicité guide nos démarches.

« C'est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe ». La simplification c’est l’essence même du marketing où toute démarche se doit de faciliter la vie des consommateurs. C'est donc l’un des enjeux majeurs de la relation client car seules les expériences clients cohérentes et fluides rassurent, engagent et fidélisent. Les équipes du siège ne pouvant pas répondre à toutes les sollicitations de manière efficace, nous n’avons pas oublié l’une de nos vieilles recettes : l'ancrage local. Parce que la réactivité est clef, parce que les animations et partenariats locaux doivent être animés là où ils sont conçus, en local. Chez Flunch, notre stratégie de simplification passe par la décentralisation, en donnant les clefs de l’expérience client aux équipes locales.

La transformation digitale qui s’invite dans toutes les entreprises offre d’innombrables possibilités que le monde physique ne permet pas. La connaissance client, la prolifération de data et la multiplication des points de contact avec le client donnent aux directions marketing et digitales la possibilité d’innover continuellement pour leurs clients. Mais attention, toutes ces opportunités peuvent amener leur lot de complexité. Le pire ennemi d’une relation client fluide et efficace !

L’avènement du ‘’Social Media Marketing’’ oblige la plupart des entités à produire des contenus pour retenir quotidiennement l’attention de leurs cibles. Comme toutes les marques, pendant quelques années, Partouche a cherché sa voie en testant diverses mécaniques de contenus, des plus simples aux plus sophistiquées.

Nous sommes la tête dans du data centric où il est de plus en plus aisé de se perdre dans ses fichiers, ses datas, ses tableaux… Au point d’en perdre son latin. Il est donc urgent de simplifier au maximum notre approche digitale, de faire du tri pour se concentrer sur l’essentiel. Quitte à prendre le risque de maximiser son inefficacité.

Chez Europcar, transformer les étapes parfois pénibles en une expérience plus simple pour nos clients et pour nos agents est notre leitmotiv ! Nous avons commencé par simplifier l’expérience sur nos apps et avons opté pour une stratégie simple « une seule action par étape ». Cette approche peut parfois amener à la création de plus d’étapes qu’il n’en faudrait sur le papier. Mais les résultats sont là : l’expérience est finalement plus rapide et plus efficace. Les clients sont guidés de manière proactive et chrono responsive dans le parcours de réservation jusqu’au pick up de la voiture. Challenge réussit : les feedbacks de nos utilisateurs nous le prouvent !

« À table ! Oui, mais qu’est-ce qu’on mange ? ». Cette phrase connue de tous représente parfaitement l’enjeu quotidien de l’équipe en charge de l’expérience ‘’convives’’ chez Compass Group France. Organisée autour d’un portfolio produits priorisé selon la valeur pour les convives et l’entreprise (Lean Portfolio Management), elle a pour enjeu de faciliter l’utilisation des outils pour les personnes qui déjeunent chez nous, de rationaliser les produits qui leurs sont accessibles et de fluidifier les parcours phygitaux…

Je vous présente Lara, la coach de Meetic, celle que tous les célibataires rencontrent sur Meetic dès qu’ils s’inscrivent et qui les accompagne durant toute leur expérience de dating. Car oui c’est compliqué de créer son profil et de trouver les profils compatibles : être original mais pas trop, choisir la bonne photo à la fois naturelle et sexy, écrire un premier message personnel qui attise la curiosité, identifier les critères les plus importants à partager…

Chacun de nous est un expert des parcours clients. Car nous sommes aussi et avant tout des clients quotidiens d’autres marques que la nôtre. Sans nous en rendre compte, tous les jours, nous comparons les parcours auxquels nous sommes exposés. Notre mission à nous est de créer l’expérience client la plus fidèle à notre marque. Mais aussi la plus compréhensible par le plus grand nombre d’entre nous ; en conservant notre singularité, nos valeurs, nos repères, nos besoins… La simplicité c’est l’objectif ultime pour que chaque client, avec sa propre personnalité et singularité, comprenne la même chose que son voisin.

Les équipes digitales d’Euromaster travaillent à la simplification de l'expérience client à un moment clé de son parcours online-to-offline : la prise de rendez-vous dans un centre de service. Le défi étant de le faire sans déporter la complexité du côté des opérateurs en centre de service.

Du sourcing des matières premières au produit fini, il y a de nombreux métiers qui constituent la supply chain : un levier vital et stratégique pour les entreprises. Reste que l’ensemble des acteurs cherche, naturellement, plus d’efficience dans le respect des nouvelles normes et réglementations, tout en misant sur une éthique professionnelle sans faille. La quadrature du cercle ?

JJe suis un simplificateur car je ne vois aucune raison valable de compliquer la relation client quand on peut la faire simple. Simplifier la vie de l'utilisateur et pacifier son expérience. Supprimer les irritants qui encombrent son existence. Traiter les causes pour sublimer les conséquences. Je suis un simplificateur qui se veut un simple pacificateur. Un chief digital facilitateur, qui a à cœur d'être un déviant positif.

Se lancer dans une activité sportive, c’est déjà un effort ! Songez à la motivation qu’il faut avant de pousser les portes d'une salle de sport ou de rejoindre, dans son salon, un cours en live. Mon rôle en tant que simplificateur, c'est de mettre l'ensemble des solutions personnalisées à disposition de nos clients pour qu’ils atteignent leur objectif sportif : perte de poids, renforcement musculaire, ou tout simplement rester en bonne santé ! Le sport permet à tous de s'améliorer physiquement et psychiquement. 

Dans un contexte social particulier depuis de nombreux mois où la morosité prend le pas dans nos approches et nos actions, simplifier la relation avec nos sociétaires, pour rendre l’expérience beaucoup plus enchanteresse qu’elle ne peut l’être, doit être notre leitmotiv. Les domaines d’activité de la finance et de l’assurance ne sont pas les secteurs d’activité les plus simples et les plus compréhensibles par tout un chacun. Des mots barbares, des conditions peu lisibles, des exclusions souvent incomprises, un parcours du combattant pour s’assurer… Voici ce que subissent trop souvent nos utilisateurs.

Lorsque nous avons lancé Fioulmarket.fr, nous souhaitions proposer une simplification de taille à nos clients : pouvoir commander 24h/24 et 7j/7. À l’époque, en 2012, les clients qui commandent du fioul le font tous par téléphone. Il leur faut donc appeler aux heures d’ouverture. Ce changement nous paraît donc majeur. Or, l’offre digitale ne va cesser de simplifier la vie de nos clients. Suivre le yoyo des prix et mettre en place des alertes pour choisir le meilleur moment pour acheter, pouvoir payer en plusieurs fois un panier moyen de plus de 1.000 euros, pouvoir organiser une commande groupée avec ses voisins en quelques clics, pouvoir choisir son créneau de livraison et voir arriver le camion qui clignote sur une carte comme un chauffeur Uber…

Je me souviens de ce prof de maths de licence. Il était majestueux. Une main dans le dos, il faisait des démonstrations d’une pureté et d’une élégance absolues. Pas de fioriture, pas de détour, mais, car il y a un mais, il fallait examiner la situation sous tous les angles pour trouver ce chemin de la simplicité, loin de l’évidence à première vue. Trouver la faille qui amène vers la simplicité, cela demande beaucoup d’efforts. Ça m’a toujours fasciné. Et c’est d’autant plus fascinant que c’est une thématique universelle.

Quelle communication pour demain : la voie c’est la voix ?

Qu’est-ce que tu fais pour les vacances ?

Le tourisme est fortement malmené depuis le début de la crise sanitaire, mais n’allez pas imaginer que les professionnels du secteur ont baissé les bras. « Nous savons tous que nous avons besoin de bouger, de partir… Mais quand ? » Question que vous vous posez certainement. Question que se pose naturellement les acteurs qui préparent activement ce « renouveau » du tourisme. 

Plus que jamais, les datas sont de puissants leviers décisionnels pour mieux rebondir dans le « monde d’après ». Mais crise ou pas, ces datas doivent être fiables, utiles, bien exploitées et donc efficaces. Mais là, nous entrons, encore souvent, dans la quadrature du cercle…

Dans les datacenters des aéroports ou encore de la SNCF, des milliards de données sont analysées chaque année. Elles sont auparavant triées et sélectionnées avant d’être exploitées pleinement. Reste que pour obtenir ces « bonnes données » : « cela prend 70 à 80% de notre temps » soulignent de nombreux professionnels. Ce qui fait dire à Hicham Hafidi Head of Innovation & Data chez Arkéa Investment services : « la data doit nous faire gagner du temps, pas en perdre, mais attention toutefois à l’abus de technologies dans le traitement des datas. Trop de couches techno risque de créer une sédimentation contre-productive et donc une nouvelle perte de temps. Il faut savoir « décommissionner » certaines technologies au profit d’autres plus efficaces » nous dit notre invité d’honneur de l’Event des Big Boss consacré à la data le 7 avril prochain.

Le pétrole « bleu » ?

Ces « bonnes » données seraient donc Le Pétrole Bleu capable de booster le business de demain ? Hicham Hafidi préfère parler « d’eau » plutôt que de pétrole « bleu. » Pour lui : « la data est une eau vitale qu’il faut purifier, partager et rendre facilement accessible à tous. » Autrement dit, les datas sont de formidables aides à la décision, mais les Humains doivent avoir aussi leur propre vision. Les données ne doivent donc pas dicter une stratégie mais l’enrichir.

Le business de demain

La crise sanitaire a-t-elle accéléré les usages digitaux bancaires ? « Incontestablement : oui !
» nous répond sans détour Corinne Hochart, CEO de ONEY France. Pour elle : « l’année 2020 a
été énorme », les usages ont explosé, et ce ne serait pas un simple effet de mode ou une
conséquence liée au confinement, mais bien d’une tendance lourde appelée à se développer
très, très, rapidement.

2020 a été un accélérateur des usages digitaux chez BNP Paribas Asset Management. Notre objectif est de devenir un gestionnaire d’actifs tech-savvy à chaque niveau de notre structure (collaborateurs, investissements, clients et opérations). De plus, la crise, que nous vivons, fait poser beaucoup de questions aux investisseurs qui encore plus qu’auparavant souhaitent donner du sens à leurs placements. La stratégie globale « sustainability » de BNPP AM lancée avant la crise, répond aux préoccupations des investisseurs sensibles aux questions sociétales et environnementales », nous dit Édouard Legrand CDO de BNPP AM. Entrons-nous dans une nouvelle ère de l’investissement durable et de l’expérience client ?

Investissements responsables

À quoi ressemblera la banque de demain ? La question se pose chaque jour et l’imaginaire dans ce domaine est débordant. Pourtant, même si les Français hésitent encore à changer de banque, Orange Bank a su s’imposer dans ce nouveau monde bancaire digital. Et si notre rapport avec notre banquier était en train de changer ?

Utilité, transparence, confiance et sécurité

Dès son lancement en 2017, Orange Bank a cassé les codes : virements directs ou par SMS ou encore paiements directs avec son mobile… Ses innovations ont toujours été « simples, intuitives, utiles, pertinentes » et surtout elles doivent être rassurantes et inspirer : confiance et sécurité.
Sur ces bases, Orange Bank a construit sa stratégie et a séduit, à ce jour, 1,2 million de clients en France. Le groupe compte dans notre pays, avec ses activités télécom, 26 millions de clients et un réseau de 600 boutiques. De quoi développer un réseau bancaire « phygital » et renforcer ainsi les synergies entre ces deux activités.

S’adapter pour garder une longueur d’avance

Des synergies entre la banque et l’opérateur télécom ont été mises en place (solution de paiement pour les smartphones, assurance mobile…) et des offres spécifiques pour les familles ont été également lancées récemment avec par exemple un service pour les enfants : « Vous savez qu’aujourd’hui un enfant a son premier téléphone mobile à 10 ans et son compte en banque à l’âge de 15 ans, notre proposition est de permettre à cet enfant d’avoir son propre compte en banque dès 10 ans avec son téléphone ! Un compte qui est en quelconque sorte un porte-monnaie électronique » nous dit Hervé Brucker, directeur marketing d’Orange Bank.
D’ailleurs, depuis le début de la crise, nombreux sont les Français qui ne veulent plus toucher de l’argent liquide. Les paiements sans contact ont explosé !

Le tout gratuit ne marche plus

« Les temps changent, les comportements aussi ! Voilà pourquoi nous n’arrêtons pas d’innover et de nouer des partenariats pour garder notre longueur d’avance et garder notre place de 1e banque digitale de France et gagner des parts de marché. Aujourd’hui, 33% de nos clients ont fait ou sont prêts à faire de leur banque digitale, leur banque principale » nous rappelle Hervé Brucker. Mais les clients « premiums » demandent des services à valeur ajoutée, souvent payants car le « tout gratuit » ne marche plus. « Nous devons être à la hauteur ! »

La banque de demain : c’est aujourd’hui ?

Paul de Leusse, DG de Orange Bank, parle d’une nouvelle ère, celle de l’after banking d’où le titre de son ouvrage paru en 2019. Pour lui, les banques « traditionnelles » ont perdu la confiance de leurs clients par manque de transparence.
Dans un entretien accordé à l’Usine Digitale en février 2020, il revient sur l’étude After Banking qui nous apprend que 90% des Français considèrent que leur banquier n’agit pas dans leur intérêt, et 50% préfèrent se tourner vers les réseaux sociaux plutôt que vers leur banquier quand ils cherchent un conseil. Rajoutant « parmi les 5 millions de clients qui changent de banque chaque année, 2 millions vont vers des banques digitales… dont Orange Bank »
Notre but est de devenir la banque préférée des familles avec des services innovants. « La banque de demain existe aujourd’hui : c’est Orange Bank ! » nous rappelle Hervé Brucker. Ah bon ? Il viendra en tant qu’invité d’Honneur à l’événement Banque et Assurances Online Meetings by lesBigBiss, nous en dira plus lors de notre conférence inspirante, le 30 mars prochain !

Covid-19 : les centres Feu Vert, le siège et la logistique ferment ». L’annotation inscrite ce 17 mars 2020 par notre trafic manager dans notre compte Google Analytics marquera les esprits. D’autant qu’au-dessus, s’affiche une courbe où le trafic Internet s’enfonce en quelques jours jusqu’à moins 70% ! L’activité d’un réseau de plus de 350 centres auto est à l’arrêt. C’est irréel.

Malongo, torréfacteur Français basé à Nice depuis 1934, occupe la place de leader Français du café haut de gamme. Une culture de l’excellence depuis les coopératives de petits producteurs jusqu’à la tasse des consommateurs. Spécialisé dans les cafés bio et équitables, Malongo a depuis longtemps diversifié sa force de vente pour être à la fois présent en grande distribution, en « CHR », à l’export, en e-commerce et aussi dans les coffee shop. La crise n’est pas anodine pour l’entreprise. Elle est touchée de plein fouet pour plusieurs de ses secteurs d’activités.

Cette année de pandémie nous apporte son lot de surprises aussi bien dans notre vie personnelle que professionnelle. Ces changements brutaux nous imposent à repenser tous nos modes de vie.

Le monde du rugby est à bout de souffle. Le modèle économique du haut-niveau doit s’adapter aux reports de compétitions, parfois aux annulations, ainsi qu’à la tenue d’événements à huis-clos. Au-delà des aspects économiques, la pratique sportive dans son ensemble est mise à mal par cette pandémie. Alors faut-il se résigner à attendre la fin des vagues de contamination pour agir ?

Chez Pepsico France, nous proposons une quinzaine de marques (sodas, jus de fruits, soupe froide, chips, biscuits apéritif et céréales de petit déjeuner). Cette crise impacte forcément une partie de notre business avec notamment les ventes dans les cafés, hôtels et restaurants. Nous avons une pensée particulière pour tous nos clients partenaires - en grande difficulté cette année - que nous essayons de
soutenir du mieux que nous le pouvons. Avec cette crise, la résilience chez PepsiCo s’est illustrée par une très grande agilité et un engagement hors norme des équipes en interne comme en externe.

MisterFly est une agence de voyage en ligne. Notre métier est de faire partir nos clients aux quatre coins du monde. La crise de la Covid a commencé pour nous dès le mois de janvier avec la gestion des premières annulations pour les séjours en Asie. Nous avons vu la vague arriver progressivement avec la fermeture des pays les uns après les autres. Cette crise est un véritable tsunami dans notre industrie. Elle ferme notre terrain de jeu : le monde ! Notre marché a disparu quasiment du jour au lendemain.

Exister c’est par essence muter, évoluer. La résilience, ce n’est pas être résigné. C’est n’est pas faire le dos rond pendant que la tempête passe, pour que tout revienne comme avant. Car rien n’est jamais comme avant. Car être résilient c’est d’abord absorber le choc, y résister pour ne pas sombrer. Puis c’est s’adapter, avec maladresse parfois, pour préparer sa survie et se préparer à rebondir. Car il nous faut bien rebondir, tirer les enseignements de ce que nous avons tous vécus, apprendre rapidement à nous adapter au nouveau contexte, faire de cette crise qui est unique et mondiale une opportunité.

« Le digital ne doit pas être identifié comme une fracture, mais au contraire comme une opportunité. L’innovation ne doit pas aller dans le sens de l’accélération du temps, mais doit être au service du progrès et d’une meilleure attention de l’expérience client ». C’était la conclusion de ma tribune l’an dernier. Et celle-ci est en 2020 toujours et encore d’actualité.

La crise que nous traversons depuis plusieurs mois a maintenant bouleversé nos vies à toutes et tous en remettant en cause les modèles établis et en changeant nos comportements ainsi que nos modes de consommation : physiques, onlines, plus courts, plus proches, plus authentiques et plus responsables… 

Face à l’annonce glaciale de cette soirée du 16 Mars 2020, le « digital » est devenu en quelques heures, le seul moyen de garder un lien avec nos clients. Une organisation sans précédent a été mise en place en quelques jours afin de traiter toutes les urgences : gestion de notre service client, organisation de nos magasins, organisation de nos entrepôts etc.)

Cette première étape a été le point de départ d’une équipe qui a décidé de se battre et de faire preuve d’une grande solidarité dans cette épreuve inédite.

Cette crise nous a démontré que nous pouvions être meilleurs tout en étant acteurs de la transformation. A notre modeste niveau, utilisons donc avec humilité mais détermination notre influence pour innover, influer ces changements, transformer et donner du sens. L’humain et l’innovation, un duo qui a été déterminant ces derniers mois.

Avant cette année, les aéroports français accueillaient des millions de passagers. Et chaque année, ils en accueillaient toujours plus.. Et nos clients voulaient encore plus de digital pour prévoir à l’avance, être accompagnés « door to door », de la porte de chez eux à la porte de leur avion et ce en passant de leur PC à leur smartphone, de notre application à nos bornes interactives. Un aéroport c'est un formidable terrain de jeu quand tu bosses dans le digital. Nous n'avions pas besoin de « 2020 » pour nous y mettre. La « transformation » ? Elle était en cours, c'était déjà une nécessité.

En cette année 2020, où la résilience est de mise, il était du devoir des entreprises de ne pas agrandir plus encore le fossé relationnel qui se créait dans la société du « chacun chez soi ».

S’il est bien un point commun entre les deux vagues Covid, c’est l’effacement de la justesse de la prévision devant la prime à l’action.

Pour moi, la résilience n’est pas une technique d’intervention. Elle m’inspire un autre regard, qui au-delà de la réparation, m’incite à chercher les ressources et éléments positifs.

Les temps actuels nous imposent avant tout une forme de résilience primaire. Ce que nous vivons aujourd’hui nous affecte bien au-delà de la seule dimension professionnelle. En tant que leaders, nous avons la sensible tâche de rassurer par l’adoption d’une posture empathique, toujours plus humaine, tout en maintenant un cap clair. Mais en s’adaptant aux nouvelles contraintes et opportunités mises en lumière par ces temps imprévisibles.

Quand on travaille dans la mode, on sait que chaque saison offre un nouveau souffle. Mais en 2020, amputé de notre poumon économique, il nous a fallu trouver comment respirer autrement.

« The black year », l’année du changement imposé… au service de la transformation accélérée ! 

Le 15 mars 2020, la France entre en confinement #1 puis le 30 octobre 2020 en confinement #2. Nous devons réagir vite et surtout nous adapter dans un contexte inédit ! Tous les bars et restaurants doivent fermer, c’est alors que tout le secteur de la restauration à table (RàT) est mis en hibernation ! La priorité ? Garder le lien avec (i) nos collaborateurs et (ii) nos consommateurs !

Chez O2, nos 13.000 salariés délivrent des prestations de services au domicile de particuliers.

En un temps record, l’entreprise est devenue résiliente !
Aux premiers jours du confinement, des milliers d’heures de prestations ont été annulées, les plannings de nos 350 agences se sont effondrés… Notre priorité absolue pour continuer à servir nos clients : trouver notre point d’ancrage et sécuriser l’entreprise, notre réseau et l’ensemble des salariés. Outre les protocoles sanitaires, télétravail, visio, création d’une chaîne YouTube pour garder le lien avec nos clients et plateforme digitale de formation pour tous les collaborateurs sont venus compléter notre quotidien. Notre objectif : ressortir plus forts de cette crise. Pour nous, c’était inédit !

Depuis cette rentrée, la Team Motoblouz n'est pas résiliente mais offensive ! Le premier confinement a solidifié nos fondations et a créé un élan collectif. En septembre nous avons revu nos priorités stratégiques partagées avec l'ensemble de nos 130 collaborateurs. Notamment avec le développement d'un mode projet collectif, agile et rapide sur nos 12 prochains mois.

Voilà 18 ans, Steven Spielberg nous contait la fable suivante : « Deux petites souris tombent dans un seau plein de crème. La première souris abandonne très vite la lutte et se noie. La deuxième souris ne renonce pas. Elle se débat tant et tant qu’elle finit par transformer la crème en beurre. Et elle sort du seau. »

Et à nos clients ...

La crise sanitaire a favorisé la transformation digitale de 97% des entreprises. Je dirai même qu’elle l’a accéléré dans des proportions assez inédites au point de voir de nombreuses enseignes développer services innovants et nouveaux canaux pour assurer la continuité de leur activité.

Voici plusieurs années, que nous, les professionnels du digital, accompagnons de profondes transformations au sein de nos entreprises. Souvent, il s’agissait de gérer l’arrivée de nouvelles formes de concurrence sur Internet. Mais aussi de prendre en compte la demande de nouveaux usages possibles plus facilement sur le web, et notamment sur mobile.

Le célèbre Opus hivernal, rassemblant les communautés du digital marketing, e-commerce vous propose de vivre une expérience unique, en version digitale, la plus grande plateforme de rendez-vous one-to-one.

C'est notre deuxième événement 100% digital !

Être agile ou le devenir... Dans tous les cas le rester ! C'est aujourd'hui indispensable pour toute entité qui a l'ambition d'exister et d'être durablement performante dans un monde où le quotidien est jalonné de complexité, d’imprévisibilité, d'incertitude, de vélocité ou encore d’accélération.

Digitalisation des secteurs de la mode, de la beauté et du Retail… faisons le point !

Les marques sont aujourd’hui plus volontaristes, que ce soit en termes d’innovation ou de transformation digitale. 

L’accélération du passage à une consommation fondée sur les valeurs et l’obligation de faire évoluer la culture des organisations pour transformer en profondeur les entreprises, sont les premières tendances qui émergent.

L’évolution des comportements d’achat des consommateurs souligne la nécessité, pour toutes les entreprises, de prendre ce tournant.  Cette transformation doit permettre de placer le client au centre des processus de décision de l’entreprise.  

Phénomène très présent, notamment chez les entreprises anglo-saxonnes, l’engagement sociétal qui s’inscrit comme la grande tendance du moment. Et pour cause, les consommateurs cherchent aujourd’hui à interagir avec des marques qui leurs ressemblent et qui partagent leurs valeurs.

Data et personnalisation sont également devenues les nouvelles armes des marques.
A partir des données recueillies, les marques peuvent étendre leurs gammes de produits et services. L’approche personnalisée est également l’occasion de jouer la carte de l’authenticité.

Un changement en profondeur autour de l’expérience client et du comportement d’achat du consommateur,  un sujet phare que nous aborderons tout au long de notre verticale dédiée à la Mode, à la Beauté et au Retail, avec le témoignage de Louise Elineau-Bleu, Directrice Digitale France chez Yves Rocher, Valérie Chebassier, Directrice Marketing & Digital France et International chez Delsey, Renaud Montin, Head of Marketing, Digital, Innovation, Data chez Gémo, Groupe Eram et Quentin Reygrobellet, Président de Birchbox, nos invités d’honneur, que je remercie personnellement pour leur implication et leur active participation.

Hervé Bloch,
Fondateur de la marque lesBigBoss

La fonction Logistique ou Supply Chain, regroupe l’ensemble des flux physiques et informationnels de l’entreprise, internes ou externes : flux en provenance des fournisseurs, stocks, stockage des produits, transport vers les distributeurs et vers les clients...

« Crise » : un mot devenu courant, presque banal, mais qui prend une dimension nouvelle et inattendue dans nos vies en 2020. Une dimension mystérieuse, aussi, car à côté des grands changements visibles, se trament des mutations profondes.

Le succès de toute entreprise repose sur sa capacité à répondre aux besoins de ses clients en toute circonstance… 

Le deuxième trimestre 2020 a été particulièrement marqué par la crise sanitaire que le monde a traversé et qui se poursuit encore. Une crise qui n’a pas fini d’influencer nos modes de vie et en particulier nos habitudes d’achat. 

Nous avons tous pu observer un renforcement de l’achat en ligne pendant la période de confinement et même sur la période post confinement. La fermeture des magasins hors alimentaire et le souhait des consommateurs de se protéger contre le risque sanitaire a accéléré l’essor du e-commerce.. 

Si les internautes n’ont pas vraiment changé leurs habitudes de consommation en ligne, la période de confinement a sensiblement impacté leur façon de consommer sur internet. A commencer par l’écran utilisé pour passer commande. De ce fait, la livraison à domicile a détrôné tout autre mode de livraison. 

Etre plus que jamais à l’écoute des clients, comprendre leur manière de consommer. Un objectif déterminant pour les e-marchands qui doivent désormais s’adapter aux nouveaux comportements d’achats des consommateurs pour se démarquer dans leur processus de vente et de fidélisation.

Autant de sujets que nous aborderons et de retours d’expériences que nous partagerons tout au long de notre journée dédiée au E-commerce.

Hervé Bloch,
Fondateur de la marque lesBigBoss

Dans ce nouveau contexte, nos DRH, qui ont d'abord dû fournir un énorme effort organisationnel pour assurer la sécurité de chacun en amorçant le télétravail, jonglent désormais entre télétravail et présentiel. 

Un retour pour un travail collaboratif optimal, affirmant ainsi notre volonté et notre stratégie d’engagement auprès de nos collaborateurs, dirigeants, clients et fournisseurs, nécessaires pour relancer le business de nos entreprises. 

Des décisions qui dépendent en grande partie du mode de management donné par les dirigeants des entreprises. 

Jamais l'influence du DRH et sa crédibilité n'ont été aussi fortes. Cette reprise le légitimise pour porter haut et fort la nécessité de mettre vraiment l'individu au coeur de nos stratégies.

Alors, télétravail “et/ou” présentiel physique ? Tel est Le nouvel "air" des enjeux RH !

Un sujet clé que nous aborderons tout au long de notre journée dédiée aux RH, avec le témoignage de Stéphanie Fraise, VP Global Talent Management chez Blablacar et Jean-christophe Brochet DRH IT chez Engie IT et Vice Président de l’ANDR, nos invités d’honneur, que je remercie personnellement pour leur implication et leur active participation.

Hervé Bloch,
Fondateur de la marque lesBigBoss

Il n’est plus possible pour les professionnels du tourisme   d’envisager une politique commerciale efficiente sans une stratégie de communication digitale et des formations qui permettront de se familiariser avec les techniques pour développer une stratégie web 2.0, commercialiser en ligne et gérer sa e-réputation, pour avoir un maximum de visibilité.

Il est désormais possible de distinguer aujourd’hui le e-tourisme le m-tourisme et le tourisme social.

Les startups inventent de nouvelles applications et des services innovants. Le numérique invite au voyage, rend la visite attractive et simplifie la vie au touriste. A l’heure du digital, le secteur du Tourisme se doit d’être à la fois social, local et mobile.

Le marché des loisirs n'a pas échappé à la digitalisation. Aujourd'hui, on ne s'adonne plus aux loisirs comme on les pratiquait encore il y a quelques décennies. Le secteur a ainsi été profondément bouleversé par l'émergence de nouveaux besoins, le développement d'activités inédites, mais également par la démocratisation des technologies digitales. Du matériel de sport aux visites de musées ou places de spectacles, chaque niche utilise les outils pour séduire les différentes générations, captant sur l’écran et le clavier enfants, parents et seniors, pour la plus grande satisfaction des acteurs de ce marché.

Et demain ? - Aujourd’hui la technique de la réalité virtuelle est essentiellement utilisée dans le secteur du loisir à travers les jeux vidéo. Mais si l’on regarde de plus près, le secteur du tourisme pourrait avoir une incidence si les particuliers avaient la possibilité de visiter facilement des lieux nouveaux et exotiques sans quitter le confort de leur domicile ? La mise en balance du potentiel que présentent la visite en réalité virtuelle et la promotion de destinations d’une part, et les intérêts des acteurs de la chaîne de valeur traditionnelle du tourisme d’autre part, deviendra probablement pour de nombreux organismes de commercialisation un élément de décision stratégique pour les années à venir.

Autant  de retours d’expériences que nous partagerons tout au long de ces deux jours consacrés à la digitalisation du Tourisme et des Loisirs.

Hervé Bloch,
Fondateur lesBigBoss

Baptisée "l’or noir de l’économie numérique" par les médias, la data et son exploitation créent une effervescence continue sur tous les fronts. 

A l’ère où le digital a su s’imposer dans de nombreux secteurs, celui de la communication ne fait pas exception.

Aujourd’hui, il est impossible pour une entreprise d’ignorer l’importance de posséder un site web ou encore de se munir d’outils digitaux. Cette tendance est révélatrice de l’évolution de la communication.

Dans un monde ultra connecté, on pourrait penser que la communication traditionnelle n’a plus sa place.

Pourtant, son impact est encore bien réel car elle conserve de nombreux avantages.

Face à ces évolutions, comment les entreprises abordent-elles ces changements ?

Quelle stratégie adopter ? Doit-on faire un choix entre communication digitale et communication traditionnelle ? 

Autant de sujets que nous aborderons et de retours d’expériences que nous partagerons tout au long de notre journée dédiée à la Communication & au Marketing, avec nos invités d’honneur, Marie-Alix Roussotte, Head Of Communication & Digital d’Algeco, Alexandre Mathieu, Directeur général adjoint - VP sales and marketing de chez Isotoner et Jonathan Angel, Directeur Communication chez Asus, que je remercie personnellement pour leurs témoignages.